La barrière hémato-encéphalique (BHE) protège le cerveau des substances nocives, mais peut également représenter un obstacle lorsqu’il s’agit d’y faire pénétrer des médicaments. Grâce à un financement de l’UE, des chercheurs en Suède ont obtenu des informations sur un autre composant de cette barrière, ce qui pourrait conduire à des traitements originaux pour diverses maladies. Les résultats de l’étude, publiés dans la revue Nature, suggèrent que les péricytes (ou cellules de Rouget) sont la pièce qui manquait au puzzle.

L’étude était en partie soutenue par le projet LYMPHANGIOGENOMICS («Genome-wide discovery and functional analysis of novel genes in lymphangiogenesis»), qui a reçu 9 millions d’euros au titre du domaine thématique «Sciences de la vie, génomique et biotechnologie pour la santé» du sixième programme-cadre (6e PC) de l’UE.
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