« Qu’avons nous inventé ? Eh bien, en quelques mots, nous avons
cherché à développer des supports pour améliorer la culture des
cellules ». Une sorte de « cellulothèque », avec des structures
superficielles extrêmement petites pour en faciliter la culture.
C’est l’idée gagnante qui a fait faire le grand saut à trois
étudiante en chimie et technologies pharmaceutiques de Pise,
Beatrice Chelli, Eleonora Da Pozzo e Ilaria Tonazzini.
Ces trois étudiantes toscanes présenteront, début avril, à la
communauté d’entreprises de la Silicon Valley, un des piliers de la
haute technologie internationale : leur projet sur les applications
biomédicales de la nanotechnologie qui leur a permis de gagner la
première édition du concours « Mind the Bridge », une importante
initiative sans but lucratif qui promeut la recherche italienne aux
Etats-Unis. Le projet s’appelle « NanoBio4 » et résulte d’un travail
d’équipe 100% féminin, auquel participent l’Université de Pise et
le CNR (Centre National de la Recherche) de Bologne. C’est un
projet innovant pour les entreprises, surtout pour l’industrie
pharmaceutique…
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