Sur les trois prochaines années, des instituts de recherche au Royaume-Uni et en Israël vont travailler ensemble sur de nouveaux projets portant sur l’utilisation des cellules souches afin de traiter les maladies dégénératives.
Fin 2017, le British Council a annoncé un investissement de 1.5 million £ dans le cadre du prochain BIRAX (the Britain Israel Research and Academic Exchange Partnership). BIRAX finance des recherches de pointe sur des thérapies par cellules souches et en médecine régénérative pour s’attaquer à certaines des maladies les plus difficiles au monde, y compris les maladies cardiovasculaires et hépatiques, le diabète et la maladie de Parkinson. Ce nouvel apport se rajoute aux 10 millions £ déjà investis par BIRAX.

Les recherches devront porter sur l’étude et le développement de nouvelles thérapies à partir de cellules souches, afin de traiter des maladies dégénératives comme le diabète de type 1 (Université d’Exeter et Université hébraïque de Jérusalem), les maladies neurodégénératives, telles qu’Alzheimer (Université de Glasgow et Technion (l’Institut de technologie d’Israël)), la dégénérescence du système sanguin ou immunitaire liée au vieillissement (Université de Cambridge et Institut Weizmann) et la régénération des vaisseaux sanguins (Université d’Edimbourg et Institut Weizmann).

Ce nouveau projet a été sélectionné dans le cadre du troisième appel d’offres de BIRAX et permet de rassembler des équipes de recherche du Royaume-Uni issues des universités d’Edimbourg, de Cambridge et de Glasgow, avec des instituts de recherche et universités israéliens : l’Institut Weizmann, le Technion (l’Institut de technologie d’Israël) et l’Université Hébraïque de Jérusalem.

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