A travers ce BE, nous le relatons régulièrement : aux Etats-Unis,
les universités et les capitaux risqueurs sont toujours à la
recherche d’un mode de collaboration efficace pour mener à bien
leurs activités de transfert de technologies. Malgré l’antagonisme
de leurs cultures, il est clair que leurs relations conditionnent
l’économie de l’innovation. Les capitaux risqueurs considèrent les
universités comme une source inépuisable de bonnes technologies
mais déplorent leurs méthodes trop peu commerciales et la lourdeur
de leur bureaucratie. Les universités, de l’autre côté, ne peuvent
se passer des capitaux-risqueurs pour financer des projets de
création d’entreprises mais entretiennent une attitude méfiante
vis-à-vis de ceux qu’ils considèrent comme de potentiels
spoliateurs de leurs technologies…
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