Des chercheurs de l’Université de Montréal viennent de démontrer
que les cellules de levure dépourvues du gène codant pour un
détecteur de glucose vivent aussi longtemps que celles ayant un
régime faible en glucose. Cette découverte publiée dans la revue
PlocS Genetics, propose une nouvelle explication de la relation
directe qui existe entre le vieillisement et l’apport de
calories.
Luis Rokeach, professeur de biochimie, et Antoine Roux, étudiant en
doctorat, ont tout d’abord montré la corrélation existante entre
l’augmentation de la durée de vie des cellules de levure et la
réduction de leur régime en glucose. Ils ont ensuite testé si cette
augmentation dépendait de la réduction de la capacité de la cellule
à produire de l’énergie ou de la diminution des stimuli via les
détecteurs du glucose…
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