Le financement des start-up françaises de biotechnologie

Solene CHARTIER est étudiante à l’ESC Grenoble. Elle nous a
contactés pour lui transmettre les coordonnées de personnes
susceptibles de l’aider dans l’étude dont elle avait la charge et
dont le thème était : De quelles façons les investisseurs
potentiels décident-ils d’intervenir dans le financement des
start-ups françaises de biotechnologie ?
Pour nous remercier, elle nous permet de diffuser le fruit de son
travail sur info veille biotech.
Cette étude présente les différents profils d’investisseurs
intervenant au premier stade de développement d’une start-up dans
le secteur de la biotechnologie. Le secteur de la biotechnologie a
des particularités : c’est un secteur à risque, soumis à des
règlementations et le processus de développement du produit (de
l’idée à l’introduction sur le marché) est long.
Les investisseurs (Business Angels, Capitaux-Risqueurs, Fonds
d’amorçage…) ont des motivations et critères de décisions qui leur
sont propres et proposent un apport financier, humain ou logistique
aux start-up.
Ces acteurs restent peu nombreux en France. L’Etat français doit
donc intervenir et aider les start-up durant les premiers stades de
développement afin de garder sur  son territoire les
entrepreneurs et leurs projets et ainsi créer de la richesse et des
emplois. L’Etat use de politiques de plus en plus
incitatives.
Deux témoignages agrémentent cette étude : une rencontre avec
Jérôme Argod, entrepreneur et fondateur de Sleepinnov Technology et
Emilie Lidome, Venture Capitalist de Vizille Capital
Innovation.
Télécharger l’étude