Selon une étude publiée dans la revue nord-américaine Proceedings
of the National Academy of Science (PNAS), les méthodes
conventionnelles d’amélioration des plantes induisent plus
d’altérations dans les plantes que le génie génétique.Par génie
génétique, un gène spécifique est introduit dans le génome pour
apporter un caractère précis et donne naissance à un organisme
génétiquement modifié (OGM). Dans les méthodes classiques
d’induction de la variation génétique telle la mutagenèse par
exemple, les plantes sont soumises à des altérations génétiques
aléatoires (provoquées par exemple par des rayonnements gamma),
puis on choisira un caractère agronomique d’intérêt qui sera
conservé dans la descendance. Des chercheurs du Département
d’Alimentation et de Nutrition de l’INSA (Institut National de
Santé Ricardo Jorge) se sont demandés si la différence des tests
d’évaluations des risques pour la mise sur le marché des deux
méthodes (OGM ou mutagenèse) était justifiée…
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