Le Massachusetts Institute of Technology (MIT), en collaboration avec des chercheurs de l’Université de Hong-Kong, a mis au point un biomatériau permettant de contrôler la croissance, la différentiation et la prolifération de cellules, après leur implantation au niveau neuronal.

Ces résultats, obtenus chez le rat, pourraient permettre le développement d’outils susceptibles d’améliorer la greffe des cellules souches et donc d’accélérer la régénération des organes. L’étude est publiée dans la revue « Cell Transplantation ».
L’équipe dirigée par le Dr Ellis-Behnke, au « Brain and Cognitive Sciences Department » du MIT et les chercheurs de l’Université de Hong Kong ont créé un réseau de nanofibres de nature peptidique, capables de s’auto-assembler : le SAPNS. Ce « nano-échafaudage » permet de fournir à des cellules d’origine neurale un substrat d’adhésion pour guider leur prolifération, leur migration et leur différentiation.
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