Des scientifiques de l’ANU (Australian National University) ont conçu un détecteur optique, 50 fois plus fin que l’épaisseur d’un cheveu, et capables de mesurer de très faibles concentrations de gaz tels que les métabolites, ces petites molécules issues des réactions chimiques de notre corps, lorsqu’elles s’échappent à travers notre peau ou notre respiration.

Ces mesures permettent de suivre la santé d’un patient, et de détecter des maladies chroniques comme le diabète.
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