Le projet SEEBETTER a cherché à mieux comprendre la vision rétinienne et à mettre au point des techniques performantes susceptibles d’avoir un impact sur les prothèses rétiniennes.

Depuis l’invention de la chambre noire et l’avènement de la photographie au XIXe siècle, les scientifiques sont fascinés par les capteurs de lumière qui saisissent le monde qui nous entoure tel qu’il est perçu par une machine fabriquée par l’homme. Ces derniers temps, l’attention s’est focalisée sur les capteurs d’images de type CCD ou CMOS. Ces appareils de pointe peuvent convertir les images optiques en signaux électroniques, et sont utilisés dans des secteurs comme la santé, l’automobile, les médias ou la sécurité.
Selon un rapport récent de MarketsandMarkets, le marché des capteurs d’images représentera dans les 13,24 milliards d’euros d’ici 2020. La course aux parts de marché a conduit à des progrès considérables en termes de taille et de densité de pixel, de résolution et de performances, mais le chemin est encore long avant que ces capteurs rivalisent avec les rétines biologiques;
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