Des chercheurs de l’Institut Indien des Sciences de Bangalore ont mis en évidence la possibilité de réduire les dommages cellulaires dans le corps humain grâce à l’utilisation de nanofils d’oxyde de vanadium.

Cette découverte ouvre des perspectives intéressantes pour le développement de nouveaux médicaments et lutter contre les maladies liées au vieillissement, les maladies cardiaques ainsi que certaines maladies neurologiques, telles que la maladie d’Alzheimer et le Parkinson.
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