Pour les patients atteints de la maladie de Parkinson dont les symptômes ne peuvent pas être contrôlés par les médicaments, la DBS (stimulation cérébrale profonde) peut représenter le seul espoir. Bien que la DBS représente généralement une méthode sans danger, certains effets secondaires liés à la stimulation peuvent avoir lieu, comme l’engourdissement ou des sensations de picotement, une rigidité musculaire, des problèmes de la parole ou de l’équilibre et des changements d’humeur indésirables. Le projet IMPACT s’est engagé à contrer ces effets secondaires en amenant la DBS à l’étape supérieure.
L’équipe d’IMPACT (Improving the lives of Parkinson’s disease patients while reducing side effects through tailored deep brain stimulation) a entamé ses travaux en s’appuyant sur un principe: dans la pratique, le problème principal de la DBS vient du fait que les physiciens ne disposent pas des outils nécessaires pour offrir un traitement personnalisé. Un phénomène de stimulation externe à la région cible prévue se produit chez 15 à 30 % des patients traités par DBS et entraîne des effets secondaires et une thérapie moins efficace.
La suite sur Cordis