C’est un sacré fléau pour beaucoup d’entre nous. Toutefois, pour un chercheur de l’Université de Western Ontario, les milliers de mouches à fruits présentes sur les étagères de son laboratoire pourraient révéler d’importants secrets sur les troubles de la mémoire et de l’apprentissage, grâce aux similitudes que nous partageons avec ces petits insectes.

Jamie Kramer, professeur à la Faculté des sciences et à l’École de médecine et de dentisterie de Schulich, et son équipe se penchent sur les processus biologiques qui activent et désactivent les gènes – un champ connu sous le nom d’épigénétique – et sur la chromatine, combinaison d’ADN et de protéines qui constitue les chromosomes.
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