D’après une récente découverte de scientifiques des universités Simon Fraser, Concordia et Dalhousie, l’adaptabilité du rituel d’accouplement serait essentielle à la réussite du processus de reproduction quand le nombre de mâles dépasse celui des femelles.

Une équipe de recherche a passé au crible des centaines de travaux sur les tendances en matière d’accouplement de mammifères, d’insectes, de poissons, de crustacés, d’amphibiens et de reptiles.
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