Une récente étude de chercheurs de l’Université Bar-Ilan a démontré que les communautés de microorganismes vivant dans les voies digestives des femmes enceintes se modifient en réaction aux hormones de grossesse, un phénomène supposément impliqué dans le bon développement des nouveau-nés.
Notre corps est peuplé de milliards de microorganismes. Peau, cheveux, cœur, intestins, ils sont partout. Souvent qualifiées de flore, ces communautés sont spécifiques à chaque région de notre corps et à chaque individu. En effet, bien que nous partagions une base commune propre à l’espèce humaine, nos flores intestinales (ou microbiomes intestinaux) sont aussi diverses qu’il y a d’êtres humains sur Terre. Elles naissent avec nous et se modifient au cours de notre existence du fait de nos hormones, nos régimes alimentaires et nos modes de vie.
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