L’administration de caféine, à des doses équivalentes à 3 ou 4 tasses de café par jour, contrôle le manque d’attention et l’hyperactivité sans entraîner d’effet secondaire, notamment de dépendance, comme c’est le cas avec le méthylphénidate (MPH), un médicament dérivé de l’amphétamine et actuellement utilisé pour contrôler la pathologie : telle est la conclusion d’une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université de Coimbra (UC) et du Centre de Neurosciences (CNC) coordonnée par Rodrigo Cunha.

Ces troubles se manifesteraient, sur le plan neurologique, par une production déséquilibrée de dopamine, neurotransmetteur.
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