Une nouvelle étude conduite au Royaume-Uni montre que les différences génétiques entre les individus peuvent contribuer à établir, modifier et accroître les interactions au sein d’un écosystème.

Présentée dans la revue Philosophical Transactions of the Royal Society B, l’étude suggère que les individus peuvent gérer des multitudes de problèmes en comprenant comment la société interagit et établit des communautés durables.
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