Des chercheurs de Trinity College Dublin viennent de montrer que le stress durant l’enfance, tel que les abus ou la négligence émotionnelle, combiné avec des prédispositions génétiques, pouvait altérer structurellement le cerveau et rendre les personnes plus susceptibles de développer une dépression ou une dépression chronique.

L’étude a été conduite sur un total de 24 patients (âgés de 18 à 65 ans) traités pour une dépression majeure. Ils ont été examinés en utilisant un appareil d’imagerie par résonance magnétique à haute résolution qui a permis d’observer leurs cerveaux.
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