Le Professeur Susanne Schmid, de la Schulich School of Medecine & Dentistry, à Western University en Ontario, étudie la capacité du cerveau à filtrer les sons indésirables et l’impact que cela pourrait avoir dans le traitement de la schizophrénie et des troubles du spectre autistique.
Une porte qui claque. Des travaux sous votre fenêtre.

Le grésillement d’un luminaire au plafond. Notre cerveau est constamment inondé par une surabondance d’informations sensorielles. Pour se concentrer sur la tâche à accomplir, il doit donc filtrer les sons indésirables.
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