Dans de nombreux cas, le traitement des maladies cardio-vasculaires impliquent des anti-coagulants du sang.

Dans cette optique, les scientifiques de l’Institut de Biologie Moléculaire et Cellulaire (IBMC) de l’Université de Porto, en collaboration avec la France et l’Espagne, étudient le mécanisme anti-coagulant que le moustique anophèle utilise lorsque qu’il pique un mammifère.
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