Per Hal, professeur à l’Institut Karolinska dans le département d’épidémiologie et de biostatistique, a mis en place une nouvelle méthode permettant de suivre la progression du cancer du sein. Cette méthode est basée sur l’interprétation des mammographies de femmes souffrant de ce type de cancer.
Le principe consiste à évaluer les zones denses (en clair) et moins denses (en noir) des mammographies après un traitement au tamoxifène. Le tamoxifène a pour effet d’inhiber les effets des oestrogènes, un groupe d’hormones sexuelles féminines. C’est donc une molécule qui agit contre les cancers hormonodépendants.
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