Si au cours des dernières années, il y a eu des progrès dans l’identification des molécules et neurones spécifiques à la démangeaison, on en sait encore très peu sur le circuit neuronal derrière ce processus.

En apparence anodine, la démangeaison peut devenir maladive si elle devient chronique. Comprendre son mécanisme pourrait contribuer à développer des thérapies plus ciblées et efficaces.
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