Si quelqu’un se blesse à côté de nous, notre cerveau répond au caractère déplaisant de la douleur de l’autre et encode également les aspects sensoriels de cette douleur.

Un travail mené par des chercheurs du Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale et du centre de recherche Université Laval Robert-Giffard suggère que lorsque l’on voit par exemple quelqu’un se donner un coup de marteau sur un doigt, la douleur de l’autre s’imprime dans notre cerveau.
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