« Quelles forces mystérieuses précédent l’apparition des prolongements, stimulent leurs croissances et ramifications, provoquent la migration cohérente des cellules et fibres dans des directions prédéterminées comme si elles obéissaient à un savant plan architectural, et finalement qui établissent ces baisers protoplasmiques, les articulations intracellulaires qui semblent constituer l’extase finale d’une histoire d’amour épique ? »

C’est avec ces mots de Santiago Ramón Cajal que Javier DeFelipe, chercheur de l’Institut Cajal et du laboratoire de circuits corticaux de l’Université Polytechnique de Madrid, commence son article publié dernièrement dans la prestigieuse revue Science.
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