Quatre gènes associés à la forme de migraine la plus commune ont été mis au jour grâce à une collaboration scientifique internationale. Jean Schoenen et son équipe de l’Unité de Recherche sur les Céphalées (Université de Liège) ont participé à la découverte de ces premiers facteurs génétiques spécifiquement liés à la migraine sans aura.

Souvent utilisé pour désigner des maux de tête, le terme « migraine » n’est pas qu’une simple céphalée. Le mal de tête est certes un des symptômes de la migraine s’il dure de 4 à 72 heures sans traitement efficace et que cela se répète au moins à cinq reprises. Mais d’autres critères doivent être réunis pour parler stricto sensu de migraine.
La suite sur Adit