Une équipe de l’Université de Montréal a découvert un mécanisme génétique qui expliquerait le fait que l’humain possède 5 doigts par membre alors que les premiers vertébrés étaient pourvus de 6 à 8 doigts par patte.

Marie Kmita, chercheuse à l’Institut de recherches cliniques de Montréal et à l’Université de Montréal, et son équipe viennent de réaliser un doublé : leurs travaux, récemment parus dans Nature, font aujourd’hui la première page de la prestigieuse revue.
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