Des virologues du monde entier poursuivent leurs efforts contre le paludisme, une maladie infectieuse transmise par le moustique à l’homme et déclenchée par le parasite Plasmodium. Des chercheurs britanniques et américains sous la direction de l’université du Maryland ont découvert qu’un champignon génétiquement modifié porteur de gènes pour un anticorps antipaludéen humain ou la toxine du scorpion antipaludéenne pourrait être utilisée pour combattre la maladie.

Le champignon résultant de la manipulation serait assez fort et ne causerait aucun dégât à l’environnement. Les experts accueillent cette bonne nouvelle avec joie, notamment car les pesticides contre les moustiques du paludisme perdent de leur efficacité.
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