Des scientifiques européens viennent d’établir la relation entre la défaillance du gène PTPN2 (protein tyrosine phosphatase non-receptor type 2) et le développement de la leucémie aiguë lymphoblastique (LAL). Lorsque PTPN2 se désactive ou disparaît, il entraîne la croissance rapide des cellules cancéreuses et prolonge leur durée de vie. Le gène agit donc comme un suppresseur de tumeur lorsqu’il fonctionne parfaitement.

Cette étude s’inscrit dans le cadre du projet MOLTALL («Molecularly targeted therapy for T cell acute lymphoblastic leukemia»), financé à hauteur de 1,4 million d’euros par le Conseil européen de la recherche (CER) au titre du septième programme-cadre (7e PC). Les résultats sont publiés dans la revue Nature Genetics.
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