Ce résultat est une percée importante. En effet, il pourrait à terme aider les chercheurs à mieux comprendre les causes de certaines maladies et conduire à un ciblage plus précis des traitements médicamenteux.
Bien que le génome humain ait été déterminé, les interactions des gènes ne sont pas entièrement comprises. Une étude internationale dirigée par le Professeur Brenda Andrews, directrice du « Terrence Donnelly Centre for Cellular and Biomolecular Research » et le Professeur Charles Boone, chercheur du même centre, a permis de développer un moyen de décrypter les réseaux issus de la variation génétique naturelle.
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