Le parasite qui transmet le paludisme, plasmodium, est surtout connu pour engendrer le plus de dégâts lorsqu’il loge dans les globules rouges de l’organisme où il se nourrit d’hémoglobine, relâche des molécules toxiques, et finit par entraîner la mort d’un très grand nombre d’hématies.

Ce parasite a aussi été identifié au niveau de la moelle osseuse sans que l’on connaisse son impact à ce niveau. Une équipe d’immunologistes de l’université d’Osaka a donc souhaité savoir si ce parasite avait une action négative sur le squelette.
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