Partant du constat que les hommes sont plus touchés que les femmes par le risque de développer des leucémies, une équipe de chercheurs du Centro Nacional de Investigaciones Cardiovasculares, en collaboration avec l’hôpital universitaire de Bâle en Suisse, se sont intéressés au rôle des hormones sexuelles féminines dans ce type de maladie.
Ils ont récemment mis en évidence, dans un article publié par Cell Stem Cell que ces hormones féminines, les oestrogènes, interviennent dans la régulation de l’activité des cellules souches de la moelle osseuse, précurseurs des cellules sanguines.
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