Les cellules perçoivent leur environnement en convertissant les stimuli mécaniques en signaux biomécaniques. Or, les recherches de ces deux dernières décennies ont prouvé que les forces mécaniques permettaient de réguler la fonction immunitaire des cellules. Cependant, l’étude des forces mécaniques à l’œuvre dans les cellules est un défi car ces forces sont extrêmement faibles de l’ordre du nanoNewton et touchent à des régions extrêmement petites.

A ce jour, les méthodes existantes permettent soit de détecter et d’appliquer des forces en un seul point de la membrane cellulaire, soit d’étudier toute la cellule mais sans la précision requise.
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