Le cerveau humain contrôlé par une mémoire photique pour les fonctions exécutives.
En exploitant les propriétés photoréceptrices uniques de la mélanopsine et une approche de pointe en Imagerie par Résonance Magnétique fonctionnelle, des chercheurs de l’ULg et de l’INSERM ont pu montrer que l’impact de la lumière sur les régions cérébrales nécessaires à la réalisation d’une tâche cognitive dépendait de la couleur spécifique de la lumière reçue plus d’une heure auparavant.
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