La parution en début d’année du bilan d’activité 2008 de l’Organización Nacional de Trasplantes (ONT) avait été l’occasion pour nous de rappeler quelques chiffres flatteurs de la politique espagnole en matière de dons d’organes : en 2008, le taux de donneurs en Espagne atteignait 34,2 par million d’habitants, soit le double de la moyenne européenne, largement au-dessus des Etats-Unis (26,3), de la France (25,3), de l’Allemagne (14,6) ou de l’Angleterre (14,7).

Dans un rapport sur la recherche biomédicale et la bioéthique en Espagne, nous avions eu l’occasion d’ailleurs, d’indiquer les conditions juridiques du don d’organe, qui sont une partie de l’explication du cas espagnol, souvent donné en exemple en Europe.
Lire la suite sur le BE Espagne 88