Une nouvelle technique qui permet d’améliorer la sensibilité de
l’imagerie par résonance magnétique (IRM) devrait révolutionner la
portée et la vitesse de cette précieuse technologie de diagnostic
pour les densitomètres en hôpital et les laboratoires de chimie.
Les chercheurs ont dû manipuler du parahydrogène lors de leurs
travaux, qui ont été menés à l’université de York, au Royaume-Uni,
et sont publiés en ligne dans la revue Science.
Les chercheurs ont développé cette nouvelle technique en utilisant
le parahydrogène (le combustible utilisé dans les navettes
spatiales) et en provoquant une interaction réversible faisant
appel à un échafaudage moléculaire conçu spécialement à cet effet.
Son magnétisme est alors transféré à une variété de molécules, ce
qui permet de les détecter plus facilement. C’est la première fois
que l’on utilise le parahydrogène à cet usage…
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