Des scientifiques financés par l’UE ont effectué des découvertes clés et mis au point des moyens plus efficaces de diagnostiquer une condition cardiaque qui affecte des millions d’Européens.
La fibrillation auriculaire (FA) – qui se traduit par un rythme cardiaque anormal – affecte jusqu’à 2 % de la population européenne et augmente le risque d’attaques, d’insuffisance cardiaque et de décès. La population vieillissante d’Europe signifie que la fréquence de la fibrillation auriculaire devrait augmenter, intensifiant la pression sur les services de santé du continent déjà sollicités.
Pour ce faire, le projet EUTRAF financé par l’UE a cherché à développer de nouvelles méthodes afin de garantir des diagnostics plus précoces de la maladie, conduisant à des interventions cliniques plus faciles et plus réussies. Le projet qui s’est officiellement achevé en novembre 2015 améliore d’une part les soins aux patients à l’aide d’un diagnostic et d’un traitement précoces, mais devrait aussi contribuer à diminuer le coût de la gestion actuelle de la fibrillation auriculaire.
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