Les blessures causées par le feu sont responsables de la mort de plus de 320.000 personnes chaque année d’après les chiffres de l’organisation mondiale de la santé.

Alors que les experts s’accordent sur le fait que la chirurgie pourrait réduire considérablement ces statistiques, les interventions ne sont pas envisageables si’il n’y pas assez de cellules épidermiques restantes chez la victime pour effectuer une greffe sur les parties les plus touchées par les brûlures.
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