Si l’on était capable de distribuer très régulièrement sur une surface plutôt grande des protéines ou tout autre type de molécules fonctionnelles, l’on pourrait alors concevoir des dispositifs ultra-sensibles ou ultra-denses prometteurs.

Le problème est que jusqu’ici, soit la distribution nanométrique est de qualité mais s’étend sur des surfaces limitées, soit la surface recouverte de ce réseau de molécule est importante mais la qualité de la distribution laisse à désirer avec notamment, des agrégats au lieu de molécules isolées.
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