C’est désormais possible avec la méthode qui vient d’être mise au point par des chercheurs d’une équipe du Laboratoire de chimie bactérienne de l’Institut de microbiologie de la Méditerranée et leurs collègues du Laboratoire de glycochimie moléculaire et macromoléculaire de l’Institut de chimie moléculaire et des matériaux d’Orsay.

Celle-ci permet de détecter les bactéries vivantes de type Gram négatif, auquel appartiennent des pathogènes tels que Escherichia coli, Salmonella typhimurium et Legionella pneumophila.
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