Selon une nouvelle recherche britannique, notre taille à la naissance et le poids du placenta pourraient détenir les indices nécessaires quant à la façon dont les parties droite et gauche de notre cerveau travaillent l’une par rapport à l’autre plus tard. Ces résultats intrigants, présentés dans la revue PLoS ONE, pourraient permettre d’améliorer notre compréhension de diverses questions de santé liées à la latéralité cérébrale.

La recherche a été conduite à l’université de Southampton et le Medical Research Council Lifecourse Epidemiology Unit de l’hôpital général de Southampton, au Royaume-Uni. Dans le cadre de l’étude, l’équipe a analysé les réactions neurologiques de 140 enfants au repos et en réaction à une activité cérébrale accrue.
La suite sur Cordis