Les greffes d’organes sauvent des vies. Cependant, pour le receveur, le traitement ne s’arrête pas à l’opération; il lui faudra prendre des médicaments jusqu’à la fin de ses jours.
Financé par l’UE, le projet ONE Study («A unified approach to evaluating cellular immunotherapy in solid organ transplantation») tente de remédier à cette situation par le biais de la thérapie cellulaire, à savoir l’exploitation des cellules pour empêcher le système immunitaire du receveur d’attaquer l’organe greffé.
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