Afin de savoir comment les cellules de notre corps fonctionnent ou dysfonctionnent dans le cas de maladies, les protéines et les gènes sont scrutés. Et si les réponses manquantes résidaient dans les déchets cellulaires ? C’est l’approche proposée par Dr. Yifat Merbl et son équipe de l’Institut Weizmann.

70% des protéines de notre corps sont détruites par les protéasomes, des complexes enzymatiques permettant de détruire de manière ciblée des protéines dénaturées. Ces protéines sont dégradées rapidement et par conséquent peuvent échapper aux analyses protéomiques (analyse de l’ensemble des protéines). Or ces analyses sont cruciales pour le diagnostic des maladies auto-immunes.
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