Des chercheurs du Centre National de Recherches Oncologiques, dirigés par Oscar Fernandez-Capetillo, ont découvert qu’une augmentation de la capacité de production de nucléotides réduisait la fragilité du génome et arrêtait le vieillissement prématurés de souris génétiquement modifiées.

Ces résultats pourraient expliquer les bénéfices de l’acide folique, un précurseur des nucléotides, utilisé en clinique pour pallier aux symptômes dégénératifs associés à la vieillesse.
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