Une nouvelle étude génétique du Royaume-Uni financée par l’UE offre aux évolutionnistes un rebondissement dans le domaine de la biodiversité.
Les lézards provenant d’une même île mais vivant dans des habitats différents bien qu’adjacents s’accouplent moins avec des espèces indigènes que les lézards provenant d’îles différentes. Les résultats de cette étude s’inscrivent dans le cadre du projet SPECIATION FACTORS («Testing the relative importance of factors in speciation: the Martinique Anoles»), financé à hauteur d’environ 160 000 euros au titre du programme Marie Curie du sixième programme-cadre (6e PC). Les résultats, publiés dans la revue Public Library of Science (PLoS) Genetics, apportent des informations sur le rôle de l’isolation géographique dans la spéciation.
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