Une recherche menée par l’université de Leicester, au Royaume-Uni, redonne un espoir quant à de nouveaux traitements possibles pour les maladies neurodégénératives dévastatrices telles que la chorée de Huntington, pour laquelle il n’existe encore aucun traitement efficace. Les découvertes de l’équipe transatlantique de scientifiques sont basées sur des techniques génétiques de pointe. L’étude a été partiellement financée par une bourse Marie Curie au titre du septième programme-cadre (7e PC) de l’UE, et est publiée dans la revue The Journal of Biological Chemistry.

Les chercheurs de Leicester, avec leurs collègues de l’université de Lisbonne, au Portugal, et de l’université de Californie à San Francisco (UCSF), aux États-Unis, ont utilisé de la levure de boulanger pour examiner les différents aspects de la chorée de Huntington. Les scientifiques utilisent la levure de boulanger ces dernières années pour étudier les mécanismes à l’origine de la pathologie de la maladie, en identifiant de nombreuses cibles médicamenteuses candidates pour les maladies neurodégénératives.
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