Si l’on sait que les cellules T ont la capacité d’adapter individuellement leur métabolisme en fonction de leur besoin énergétique après avoir été activées, aucun effet comparable d’une activation du système immunitaire n’a jusqu’à présent été observée sur l’ensemble de l’organisme.

Le groupe de chercheurs japonais s’est intéressé à cette activation en se basant sur des souris n’exprimant pas le récepteur de surface PD-1, connu pour son action inhibitrice des lymphocytes T et cible clef en immunothérapie.
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