En 2007, des scientifiques découvraient les cellules souches pluripotentes humaines induites (CSPi). À l’instar des cellules souches embryonnaires (CSE), les CSPi peuvent s’auto-renouveler ou se métamorphoser en un nouveau type de cellule ou de tissu. L’avantage est qu’elles ne comportent pratiquement aucune des limitations éthiques et pratiques qui constituent une entrave à la recherche sur les CSE.

Une nouvelle étude a cependant découvert que les CSPi n’ont pas la même portée en fonction des applications ciblées. Les résultats ont été présentés dans le cadre du projet ESTOOLS («Platforms for biomedical discovery with human ES cells»), financé à hauteur de 12 millions d’euros au titre du domaine thématique «Sciences de la vie, génomique et biotechnologie pour la santé» du sixième programme-cadre (6e PC) de l’UE.
La suite sur Cordis