Les ARN interférence, dont le spectre d’applications commerciales
ne cesse de s’étendre, ont montré, au cours d’une récente étude,
des résultats surprenants.
Les ARNi sont des petits morceaux d’ARN antisens qui existent
naturellement dans les cellules et dont le rôle est de bloquer la
transcription de certains gènes. Leur fonction naturelle de
régulation du génome a rapidement intéressé les chercheurs qui ont
immédiatement pensé à leurs applications pour le traitement de
maladies liées à la dégénérescence du génome. Cette recherche s’est
intensifiée depuis l’obtention, en 2006, du prix Nobel de médecine
par Andrew Fire et Craig Mello pour leurs travaux sur ce
sujet…
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