Une étude financée par l’UE devrait conduire à repenser la façon dont les plantes libèrent de la vapeur d’eau dans l’atmosphère, par le processus de transpiration. L’étude, publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, a des répercussions sur des domaines aussi variés que les prévisions climatiques, le réchauffement planétaire, l’agriculture et l’hydrologie.
Le soutien de l’UE provient du projet LIFT («Laser-induced fluorescence transient: a remote sensing approach to scale and quantify photosynthetic light use efficiency in ecosystems»), une bourse internationale Marie Curie «sortante», qui a reçu un financement de 250 000 euros du sixième programme-cadre (6e PC) de l’UE.
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