Selon une nouvelle étude, l’évolution des pluricellulaires ne semblerait pas avoir nécessité autant de modifications génétiques que ce que l’on pensait. Dans un article paru dans la revue Science, une équipe internationale de chercheurs explique comment elle a comparé les génomes de deux espèces d’algues étroitement apparentées, Volvox carteri (pluricellulaire) et Chlamydomonas reinhardtii (unicellulaire).
La vie pluricellulaire a évolué plus d’une fois: chez les animaux, les végétaux et les champignons, ainsi que chez les algues rouges et brunes. Toutefois, dans la plupart des cas, cette évolution est tellement ancienne qu’il est extrêmement difficile de retrouver les modifications génétiques responsables.
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